Bien sûr, les professionnels de santé penchent pour une explication neurologique : hallucinations dues au manque d’oxygène, effets du traumatisme… Pourtant, ceux qui ont vécu des expériences similaires affirment que rien n’égale la clarté de ces moments. D’une intensité rare, presque plus nets que la réalité.
Ce type de récit, aussi rare que déroutant, soulève une question qui nous traverse toutes, tôt ou tard : que se passe-t-il vraiment quand tout s’arrête ? Et si l’on découvrait un jour que l’au-delà est aussi multiple et complexe que nos propres émotions ?
