Dans la famille Langston, chaque fils épousait sa propre sœur… jusqu’à ce que l’un d’eux rompe enfin la malédiction.👇👇

Au fil des générations, les Langston se coupèrent du reste de la société. Les enfants ne fréquentaient plus l’école. Les mariages, les naissances et les décès se déroulaient à huis clos. L’aîné de chaque génération imposait à ses descendants un isolement strict, au nom de la “pureté familiale”.

La grande maison devint le centre d’un monde clos. Nul n’y entrait sans autorisation, et ceux qui y vivaient n’en sortaient presque jamais. Le contrôle du patriarche façonnait les esprits : pour les enfants, la famille représentait tout l’univers. Les traditions devinrent des lois, et la peur du dehors un mur infranchissable.

Les fils étaient élevés pour obéir, les filles pour servir la maison et perpétuer la lignée. Pouvoir, peur et religion s’entremêlaient dans une idéologie rigide où toute contestation était perçue comme un péché.

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