Pensez à une bouteille de soda qu’on agiterait sans cesse. Tôt ou tard, la pression devient trop forte et le contenant explose ou se déforme. De façon similaire, lorsque nous emmagasinons des émotions difficiles sans les extérioriser, cela crée un stress prolongé qui finit par affaiblir nos défenses naturelles.
La recherche médicale confirme que les troubles de l’humeur comme la mélancolie ou les angoisses sont fréquemment associés à la fibromyalgie. Notre psyché, envahie par des idées noires, envoie des signaux perturbateurs à tout notre organisme. Chaque fibre de notre être réagit à notre paysage émotionnel.
L’engrenage infernal entre douleur et affect
La présence continue de douleurs physiques engendre souvent des sentiments de découragement, d’abattement ou d’exaspération. Ces réactions affectives créent malheureusement un mécanisme auto-entretenu : plus elles sont réprimées, plus les sensations douloureuses s’accentuent.
Ce processus installe progressivement un véritable dédale psychologique. L’épuisement constant et les souffrances récurrentes peuvent conduire à un état dépressif, lequel vient ensuite renforcer les symptômes fibromyalgiques.
Stratégies pour sortir de cette spirale négative
Pour recouvrer paix intérieure et confort de vie, il devient crucial d’apprendre à canaliser ses émotions au lieu de les étouffer. Voici quelques pistes concrètes :
