
Le cancer de l’estomac se développe silencieusement : voici les premiers signes !
Facteurs de risque :
Infection à H. pylori : Une bactérie qui vit dans l’estomac et peut provoquer des gastrites et des ulcères, augmentant ainsi le risque de cancer.
Tabagisme : Le tabagisme est l’un des principaux facteurs de risque du cancer de l’estomac.
Une alimentation riche en aliments salés, fumés et transformés : Ces aliments peuvent augmenter le risque de développer la maladie.
Antécédents familiaux de cancer de l’estomac : Les personnes dont des proches ont été atteints de la maladie présentent un risque plus élevé de développer la maladie.
Obésité : Un excès de poids peut augmenter le risque de cancer de l’estomac.
Consommation excessive d’alcool : Une consommation excessive d’alcool peut augmenter le risque de développer la maladie.
Maladie auto-immune : Des maladies telles que l’anémie pernicieuse et la gastrite atrophique auto-immune peuvent augmenter le risque de cancer de l’estomac.
Quand la gastrite peut-elle se transformer en cancer ?
La gastrite, une inflammation de la paroi de l’estomac, n’évolue généralement pas en cancer. Cependant, certains types de gastrite, comme la gastrite atrophique auto-immune, peuvent augmenter le risque de développer un cancer de l’estomac.
Guérison :
Les chances de guérison du cancer de l’estomac dépendent du stade de la maladie au moment du diagnostic. Un diagnostic précoce est essentiel pour augmenter les chances de guérison. Le traitement peut inclure la chirurgie, la chimiothérapie, la radiothérapie ou une thérapie ciblée, selon le cas.
À noter :
Ce contenu informatif ne remplace pas un suivi médical spécialisé.
Consultez un médecin si vous présentez l’un des symptômes mentionnés ci-dessus, surtout s’ils persistent.
Un diagnostic précoce est essentiel au succès du traitement du cancer de l’estomac.
Adopter de saines habitudes de vie, comme une alimentation équilibrée, éviter le tabac et la consommation excessive d’alcool, et effectuer des dépistages préventifs, peut contribuer à réduire le risque de développer la maladie.
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PRÉVENTION NATURELLE
L’alimentation doit être aussi naturelle que possible. Évitez le sucre, les viandes transformées, les boissons alcoolisées et les cigarettes.
Investissez dans le curcuma.
Des études montrent que la curcumine, principal antioxydant du curcuma, inhibe la croissance de nombreux types de cancer, notamment ceux du côlon, de la prostate, des ovaires, du sein et du cerveau, et inhibe également l’angiogenèse (formation de nouveaux vaisseaux sanguins pour nourrir la tumeur). Mais comment et à quelle fréquence l’utiliser ?
Le curcuma pris seul ou en gélules est très inefficace, car il n’est pratiquement pas absorbé par l’intestin. Le secret pour que le curcuma traverse la barrière intestinale est de le consommer avec du gingembre ou du poivre noir, révèle le Dr Carolyn Anderson.
Surtout le poivre, qui augmente l’absorption du curcuma par l’organisme jusqu’à 2 000 %. Il est également conseillé de le dissoudre dans de l’huile d’olive. Voici une excellente suggestion :
1/4 cuillère à café de safran/curcuma
1/2 cuillère à café d’huile d’olive vierge extra
Une généreuse pincée de poivre noir
MÉTHODE DE PRÉPARATION
Mélangez les trois ingrédients dans un verre.
Le mélange peut être consommé pur ou ajouté à des salades, des soupes, ou selon vos préférences.
Il ne faut simplement pas le chauffer.
Et sa consommation ne devrait pas prendre trop de temps.
Si vous l’ajoutez à un plat cuisiné, ajoutez-le après la cuisson ou ne le surchauffez pas.
Le mélange doit être consommé quotidiennement, voire plusieurs fois par jour.
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