« La lumière est tellement importante. La lumière rouge, par exemple, augmente l’activité des macrophages – elle favorise leur activation et leur capacité à engloutir les cellules cancéreuses et les virus. »
« La lumière verte diminue la viscosité sanguine, favorise la microcirculation et améliore l’énergie cellulaire. »
« Nous utilisons la lumière bleue pour stimuler la production d’oxyde nitrique et améliorer l’activité de la télomérase, ce qui est important pour la longueur des télomères chez les patients cancéreux. »
« Il existe différentes approches de photothérapie, utilisant tout le spectre lumineux. Les dispositifs à infrarouge sont efficaces pour les tumeurs externes et palpables. »
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« Une méthode récente combine l’administration intraveineuse de certaines substances photoactives, comme la vitamine C ou la curcumine, avec une exposition à la lumière bleue, ce qui pousse les cellules cancéreuses à produire des espèces réactives de l’oxygène toxiques pour elles. »
« L’ozone et l’oxygène hyperbare peuvent renforcer ces effets. »
La photothérapie peut être associée à la TPI, au jeûne et à la chimiothérapie à faible dose. Les agents chimiothérapeutiques photoactifs voient leur effet potentialisé par l’exposition à la lumière, surtout après un jeûne de 12 à 16 heures selon l’état du patient.
Le rôle du laetrile dans les traitements
La thérapie à l’amygdaline, ou laetrile B17, développée par le Dr Harold W. Manner, fait également partie des traitements utilisés. Selon le Dr Jimenez :
« Par voie intraveineuse, nous évitons les intestins. Nous administrons entre 3 et 9 grammes d’amygdaline ou de laetrile B17 en intraveineuse. »
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