Ce qui aide :
Des bilans réguliers, une bonne hygiène de vie et des traitements adaptés. Et surtout : apprendre à s’écouter. Si l’on ne se sent pas à 100 %, on laisse la voiture au garage, sans culpabilité.
Diabète : quand la glycémie s’invite au poste de conduite
On n’y pense pas forcément, mais un épisode d’hypoglycémie peut entraîner des troubles de la vue, de la concentration… ou une perte de connaissance. Et cela peut arriver très vite.
La bonne habitude :
Toujours vérifier sa glycémie avant de prendre le volant, avoir une collation à portée de main, et prévenir ses proches en cas de sensation de faiblesse.
Mobilité réduite : bouger, c’est (aussi) la sécurité
Tourner le volant, appuyer sur les pédales, regarder dans les angles morts… La conduite demande une coordination fine. Or, l’arthrose, les douleurs articulaires ou des troubles comme la maladie de Parkinson peuvent limiter les mouvements et ralentir les réactions.
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