Le texte est souvent ponctué de « Voir plus » ou « Lire la suite », et les commentaires renvoient vers un site douteux qui demande des données personnelles, des mots de passe ou affiche des publicités.

Les photos de ces publications proviennent le plus souvent d’autres sources , sans lien avec l’événement décrit. Dans certains cas, elles sont même générées artificiellement ou volées sur des profils personnels.

🔍 Comment reconnaître les fausses informations

Il y a un manque de précision – ni nom, ni lieu, ni date, ni source.

Titre émotionnel – vise à susciter la pitié, et non à informer.

Source inconnue – pages sans nom clair, logo ni historique.

Répétition – le même texte apparaît sur différentes pages à travers le monde.

Liens suspects – « Cliquez ici », « Lire la suite », « Voir le reportage complet », etc.

Pourquoi les gens partagent-ils des choses comme ça ?

L’émotion prend souvent le pas sur l’esprit critique. Face à une histoire tragique, notre premier réflexe est de compatir, non de vérifier les faits. C’est précisément sur ce mécanisme que misent les auteurs de ces publications : chaque partage leur rapporte des revenus publicitaires et de trafic

Derniers mots

Internet nous offre la liberté de partager, mais aussi la responsabilité de ne pas induire en erreur.

Les vraies informations s’appuient sur des sources, des noms et des faits.

Les fausses informations ne véhiculent que l’émotion et visent à en tirer profit.

Avant de cliquer sur « partager », posons-nous la question suivante :
👉 « Est-ce vrai, ou simplement une autre histoire qui cherche à attirer mon attention ? »

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